Colis Rennes : la vie rêvée des guignols…

Prenez une grosse dose de mauvaise foi des managers, une lourde dé magouille organisée par les responsables de l’agence, une cuillerée de mensonges orchestrée par le ou les responsables nationaux, un zeste de complicité, un doigt oú il faut (sur la bouche si on veut) et nous avons la recette d’un licenciement scandaleux.

Que sont devenus des trafiquants de pneus, toujours là. Où est la responsable de l’agence, principale organisatrice du trafic, toujours là.

Qu’est devenu le directeur régional qui couvre ces magouilles, toujours là.

Quand on nous explique que l’on doit être fiers de l’entreprise, ce sera sans nous !

Pendant ce temps-là, un salarié impliqué, qui aimait son job, honnête, a été licencié comme un malpropre pour avoir cassé un porte-clefs en plastique. On exagère à peine…

Tout cela, avec une mise à pied immédiate, finalement reconnue par l’entreprise comme totalement injustifiée.

C’est le visage que propose la direction aujourd’hui ! Bravo.

Soyons desinvoltes, n’ayons l’air de rien…

Couvrir les magouilles et virons les salariés honnêtes. C’est le concept actuel.

Juste pour rire,.l’ex salarié licencié a reçu sa lettre de licenciement truffés de fautes de grammaire et d’orthographe.

La classe…

DEUX POIDS, DEUX MESURES !

Pourtant, quelques questions restent sans réponse :

  • Pourquoi avoir acheté autant de pneus alors que d’habitude les achats sont réalisés en fonction des besoins,
  • Pourquoi la responsable vendeuse annonçait un nouvel arrivage de pneus à vendre ?
  • Pourquoi celui qui achète ces pneus se trouve être intime de celui qui fait vendre ? C’est troublant.
  • Pourquoi ceux qui savaient ont laissé faire ?

Comment les actionnaires peuvent nous demander de faire confiance en la stratégie de l’entreprise ?

Cette stratégie de voyous qui vendent le patrimoine de l’entreprise en toute impunité ?

Permettez-nous de douter !

Impensable Messieurs !

Comment mettre une urgence à licencier un salarié honnête, alors que les trafiquants ne sont pas inquiètés ?

Les urgences à remettre de l’ordre semblent avoir un peu de retard à l’allumage lorsqu’il s’agit de cadres.

Ne pas réagir immédiatement, c’est tolérer, et réagir plus tard n’a plus de sens.

Mais, comptez sur nous, ce n’est pas terminé.

Car l’affaire des pneus n’est que l’illustration d’un laisser aller généralisé y compris dans la gestion du personnel dont certains ont officiellement informé les représentants du personnel de cas de harcèlement, eux aussi couverts semble-t-il.

Le dernier C.S.E. a donc ouvert une enquête officielle qui va permettre d’entrer dans les détails.

Une enquête pour harcèlement à été votée sur cette agence, nous sommes inquiets de la décision finale de celle-ci….

Nous avons entièrement confiance en les enquêteurs, pour ce qui est de la direction…

C’est une autre histoire…

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5 Commentaires

  1. Bravo Adrexo pour complicité dans le vol et le harcèlement.
    Rien a y comprendre !!!
    C’est inadmissible et honteux Monsieur le Président directeur général
    Comment tolérer ça ????
    Messieurs et dames du syndicat foncez!!!

  2. Quand je dis que l’on est dirigé par une bande d’amateurs, des marchands de tapis magouilleurs sur les bords….
    C’est grave, non?

  3. Bonjour je viens de voir que à partir de janvier on pourra aller chercher nos pubs que le vendredi a cause du second tour courrier
    1 ère question quel est le rapport entre le 2 eme tour courrier et donner les pubs au distributeur que le vendredi ?
    Et comment vas t’on faire avec tous nos secteur on devra trier le samedi et le dimanche ?

    • Bonsoir, parceque si le salarié a des courriers de dernière minute à distribuer en début de semaine, ils pourront arriver le vendredi.
      La direction souhaite donc limiter les départs aux vendredis.

  4. Comme milee qui préfère embaucher du monde de l’extérieur au lieu de proposer en interne

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