Après avoir tenté un putsch avec les taupes infiltrées à la C.A.T., essayé de corrompre le Président de la Confédération C.A.T., proposer des rendez-vous à cette même confédération, le temps est venu pour la direction de sortir les flingues de concours pour essayer de licencier notre camarade Philippe Viroulet.

A l’heure où nous écrivons ces lignes (comme disent les bons journalistes), nous ne savons pas ce qui est reproché à notre D.S.C., même si nous avons notre petite idée…

On ne s’ennuie jamais chez Adrexo-Land, tout est prévu pour les festivités estivales. Pas de Summer Job Festival, qu’à cela ne tienne, nous aurons droit au : Viroulet no Job avec fessée.

L’idée de la direction est de tenter de briser la liberté d’expression syndicale tout en assurant une protection efficace aux voleurs de chéquiers cadeaux et plus si affinités.

Vous imaginez bien que nous n’avons pas les mêmes valeurs…

En somme, la liberté uniquement pour les magouilleurs, c’est la devise de la direction d’Adrexo.

Evidemment, cela n’est pas encore fait.

L’entretien aura sûrement lieu en août, ensuite il faut passer par l’avis (consultatif) du C.S.E., pour enfin attendre la décision de l’Inspection du Travail, puisque c’est elle qui décide.

Les choses vont évoluer d’ici là mais nous garderons, soyez-en certains, notre liberté de ton et continuerons à vous informer sans aucune contrainte.

Nous vous donnerons de plus amples détails sur « l’affaire » dès qu’il en sera possible, non sans « feuilletoner » un peu pour ne pas bouder notre plaisir.

Pour un syndicat qui était parfois taxé d’être proche de la direction par le passé, qui a déjà prouvé son implication pour les salariés avec quelques belles victoires, c’est inespéré.

A suivre….


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